Publié le 05 oct. 2012
A l’heure de la recherche d’économies, dont un des bras de levier reconnu est la mutualisation, l’Etat propose une démarche de plus grande utilisation des logiciels libres dans une approche raisonnée, sur la base du travail effectué par la DISIC (Direction interministérielle des systèmes d’information et de la communication).
Le document ci-joint, après avoir retracé dans les grandes lignes la situation actuelle du marché du libre au sein de l’administration centrale, explique les raisons qui conduisent à proposer cette démarche, en décrivant également une partie de ses limites et contraintes. (On pourra néanmoins regretter qu’il n’aborde pas réellement le TCO (cout total de possession) et les risques liés à la sécurité, de ce type de solution – Ndlr).
Un des points forts souvent évoqué est la possibilité qu’ « une administration peut choisir unilatéralement une solution libre ».
Les préconisations
Les préconisations principales visent à instaurer une convergence des souches de logiciel libre au travers d’un cadre de convergence initié d’abord au sein des ministères de l’Etat.
Ensuite, il est proposé :
- d’activer un réseau d’expertise sur ces souches,
- en améliorer le support, très souvent décrié comme étant le parent pauvre,
- suivre les grandes communautés actives et pérennes,
- tracer l’usage de ses effets,
- activer par capillarité le développement de l’usage des logiciels libres dans le SI public.
L'accent fort sur le principe de mutualisation est constamment mis en avant.
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Orientations pour l’usage des logiciels libres dans l’administration
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